A l’instar de la plupart des Petits Etats Insulaires, le secteur agricole Comorien est handicapé par la petite taille et la dispersion géographique du territoire, le caractère limité des ressources et l’isolement du pays par rapport aux marchés, lesquels empêchent le secteur de bénéficier des économies d’échelle.
Ces handicaps physiques sont en outre aggravés par des coûts élevés de l’énergie, des infrastructures, des transports et des communications, minant la compétitivité du secteur et limitant les possibilités en matière de transformation et de commercialisation des produits agricoles.